Projet de loi Castex : le vaccin, le test, un traitement, ou l’exclusion sociale !
Il y a encore quelques mois, des médias ou des personnes qui supposaient que l’administration d’un vaccin, ou la présentation d’un test négatif conditionnerait bientôt nos déplacements et l’accès à des endroits étaient taxés d’être complotistes. Cette mesure figure pourtant dans le projet de loi instituant un régime pérenne des urgences sanitaires, déposé le 21 décembre 2020 par le Premier ministre Jean Castex.
◆ Un projet de loi ultra-liberticide
Il est bien écrit noir sur blanc dans le projet de loi déposé par le Premier Ministre Jean Castex le 21 décembre 2020, dans son article 6, que : « Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l’étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d’application s’agissant notamment des catégories de personnes concernées. »
Si un tel projet de loi venait à passer, reste à voir si le test de dépistage devra être exécuté régulièrement en plus d’un vaccin, ou si un résultat négatif suffira pour pouvoir circuler. Quels traitements préventifs ou curatifs seront considérés officiellement comme valables. Et si la population française acceptera sans broncher ce genre de mesures autoritaires.
◆ Un rappel de chiffres et de données
Rappelons que selon l’ANSM elle-même, la très grande majorité des gens guérissent spontanément de la COVID-19.
Rappelons également qu’environ 0,09 % de la population française est décédée de la COVID-19 (60900 décès énoncés sur le site de l’Internaute le 22 décembre 2020 sur une population de près de 69 millions d’habitants, attribués officiellement à cette maladie en presque un an). Qu’un peu plus de 2700 personnes sont actuellement en réanimation contre les 9000 annoncés par Emmanuel Macron. Que le cancer tue en moyenne dans notre pays plus de 150000 personnes par an. Que des décès ont été étiquetés COVID-19 alors qu’ils n’étaient pas dus à cette maladie. Que certains médecins ou pays comme Madagascar disent que des traitements existent qui ne sont pas reconnus, voire interdits en France. Et qu’un bon nombre des scientifiques comme le Pr Perronne ceux qui contrent la version officielle et le vaccin sont démis de leurs fonctions, menacés, ridiculisés, poussés devant la justice et classés dans la case « complotistes ».
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