Des médecins allemands lancent une Commission d’enquête citoyenne et indépendante sur le COVID-19
Des médecins allemands s’organisent et lancent un appel international afin que des enquêtes indépendantes soient réalisées et que la lumière soit faite sur la gestion de l’épidémie du COVID-19 et ses conséquences collatérales sur la société. Ils soulignent notamment les dangers des vaccins en cours d’élaboration, ou de l’obligation de porter un masque.
◆ Des médecins à l’esprit critique
L’ACU, la Commission d’enquête extra-parlementaire sur le COVID-19, initiée en Allemagne a pour vocation de réunir un maximum de soutien pour exiger une transparence sur la gestion de l’épidémie du COVID-19. Dans cette vidéo explicative, la démarche est traduite et sous-titrée en plusieurs langues dont le français. Trois personnes s’y expriment : Heiko Schöning, Dr. Bodo Schiffman et Prof. Martin Haditsch. Ils précisent dès le départ que ce qu’ils font « est totalement non partisan ». Leurs positions, leurs affirmations et leurs questions sont très claires. « Nous, les citoyens, devons retrouver notre souveraineté et nous en prenons aussi le droit, parce que nous l’avons », puisque « ni les parlements, ni les partis d’opposition, ni les partis au pouvoir n’ont convoqué de commission et que celle-ci n’en est même pas au stade de la planification, il est grand temps que nous prenions les choses en main maintenant. »
◆ « Transparence » et « honnêteté » sont exigées
Un de leur souhait : pas de dogmatisme. « Nous inviterons et entendrons ici des experts de tous les horizons, issus des domaines de la médecine, des affaires sociales, du droit, de l’économie et bien d’autres encore. » Tout le monde, même ceux de la partie « adverse » pourront s’exprimer et tout ce qu’ils diront « sera rendu complètement transparent. Les déclarations des experts seront diffusées en direct, sans montage, vous pouvez les regarder sur internet. » Notamment pour connaître le nombre de victimes collatérales au COVID-19, par exemple parmi les personnes qui n’ont pas pu être opérées depuis le début de cette période chaotique. Pour savoir pourquoi de telles mesures sanitaires privatives de liberté ont été prises alors que « les taux de mortalité ne sont pas plus élevés qu’avec les fortes vagues de grippe » et que « Nous n’avons pas la peste ! ». Pour savoir pourquoi on ne peut pas aller rendre visite à ses parents dans les maisons de retraite. Et pourquoi “on traite de menteurs, de charlatans ou de théoriciens du complot” les médecins et scientifiques qui remettent en cause certaines infos officielles. (Voir notre vidéo tournée avec Le Professeur Perronne)
◆ La lutte contre les mesures sanitaires insidieuses
S’ils ne sont pas contre les mesures d’urgence prises en cas de crise, elles ne doivent pas s’intégrer insidieusement dans la société de manière durable. « Les gouvernements doivent prendre des décisions et, dans les situations d’urgence, comme une pandémie, ils doivent également prendre des mesures qui peuvent, à première vue, restreindre les droits fondamentaux. Mais ils sont également tenus de revoir constamment ces mesures et de les assouplir le plus rapidement possible afin d’éviter les dommages collatéraux ».
◆ La supercherie de la vaccination qui se prépare
Ils se demandent également pourquoi on s’apprête à faire une vaccination de masse alors qu’« il n’y a même plus assez de personnes en Allemagne qui tombent malades pour qu’un vaccin puisse être testé sur elles ». Selon eux, cette vaccination est « sans nécessité médicale » et « dangereuse », car « il s’agit d’une nouvelle forme de vaccination, dite à ARN, qui, contrairement aux vaccinations précédentes, est capable de modifier le matériel génétique. Et peut causer des dommages incalculables aux personnes ». (Vous pourrez lire dans notre prochain magazine papier et numérique n°129 un article sur ce sujet intitulé « Vaccins OGM : la grande accélération »)
◆ Des responsables à mettre au grand jour
Pour eux, que les erreurs décisionnelles aient été intentionnelles ou basées sur « l’ignorance, c’est sans importance. Dans tous les cas, « cela disqualifie les décideurs eux-mêmes. (…) Face à la catastrophe, qui ne peut être évaluée du tout à l’heure actuelle, il semble nécessaire (…) d’insister pour que ces décisions soient évaluées objectivement et pour que les décideurs soient tenus responsables si une faute est avérée. »
◆ Un conseil international de la résistance ?
On se sent en pleine période de résistance : « Nous nous basons sur la Loi fondamentale. Dans la Loi fondamentale, que je tiens ici dans ma main, il y a un article merveilleux, l’article 20, paragraphe 4, “Toute personne a le droit de résister si aucune autre mesure ne permet de remédier à la situation” ». S’ils invoquent ici la loi allemande, chacun d’entre nous pourra se baser sur le texte de son propre pays. Le docteur Schiffman partage les raisons de son engagement : « Ma motivation, ce sont mes grands-parents et mes parents, qui m’ont appris que si j’ai le sentiment que les droits fondamentaux sont restreints, que si la démocratie est restreinte, que si la presse n’est plus une presse libre, mais que vous avez le sentiment qu’il s’agit de propagande, que si les opinions étrangères sont censurées, supprimées, alors vous devez sortir dans la rue, alors vous devez devenir actif, ou vous devez essayer d’informer le public vous-même. »
◆ Un soutien fort de 2000 personnes
Plus de 2000 personnes soutiennent déjà le mouvement, pour la plupart allemandes et du monde médical, mais pas que. Avec les traductions en cours des vidéos et des textes accessibles sur le site, on voit émerger de nouveaux soutiens au niveau international. Pour les francophones, le texte est disponible en français, mais pas encore de soutien officiel en France. L’ACU invite d’ailleurs chacun à participer à sa façon pour améliorer la diffusion de leurs actions, car derrière tout ça, selon eux, il n’y a « pas de société de médias, pas de riches, pas de fondations“.
Estelle Brattesani
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