Témoignage d’un chirurgien-dentiste : « Je lutte contre la pensée unique manipulatrice et dictatoriale »
Entretien avec un chirurgien-dentiste à la fois sérieux et ouvert d’esprit, qui n’hésite pas à faire des certificats à ses patients intolérants au masque. Pour lui, le port d’un masque chirurgical n’est pas suffisamment efficace contre les virus, voire toxique dans certains cas, l’utilisation fréquente du gel hydro-alcoolique à éviter, et notre système immunitaire à préserver et renforcer. Pour lui, la résistance ne se fera pas dans la rue, mais à bas bruit pour détruire l’état dictatorial.
Quel texte de loi dit qu’un certificat professionnel ne peut être refusé ? Et qu’il ne doit pas préciser le motif ?
Je ne trouve pas de texte de loi, puisque c’est une vérité qu’on nous impose pendant nos études (médecins, dentistes et sages femmes). En revanche, je vous transmets le courrier du Conseil de l’Ordre des médecins du Nord qui clarifie qui peut établir un certificat médical, ainsi qu’un lien vers leur site qui nous indique notamment dans quel cas en rédiger un.
Selon la HAS (texte sur le site ) : « La loi prévoit que les certificats doivent être circonstanciés. Il n’y a aucune obligation à mentionner le diagnostic dans le certificat ou l’avis médical, compte tenu du droit au respect de la vie privée, dont le droit au secret des informations relatives à l’état de santé fait partie (droits rappelés à l’article L. 1110-4 du Code de la santé publique). Par conséquent, le diagnostic médical ne doit pas être révélé dans le certificat ou l’avis médical ». Hors les cas de révélations permises ou imposées par la loi, le secret médical doit être observé à l’égard des tiers (R. 4127-4, -50, -76 du CSP et 226-13 et -14 du CP), pas de diagnostic, juste des faits constatés.
Pour quels motifs faites-vous un certificat ?
Les 2 principales indications : l’hyperventilation liée au masque implique fréquemment une respiration buccale, ce qui laisse une langue en position basse, provoque des douleurs articulaires et des désordres orthodontistes (Je traite les problème d’occlusodontie, les troubles articulaires et fais de l’orthodontie fonctionnelle). J’ai moi-même ces troubles articulaires et je ne porte mon masque que sur la bouche depuis que j’ai commencé à exercer. Les patients avec abcès dentaires ou parodontaux récurrents ont des haleines fétides liés à une hyper sécrétion des toxines bactériennes. Avec le masque on augmente sa charge bactérienne et l’odeur n’est pas supportable au quotidien pour les patients.
Selon vous, le masque est-il utile pour se protéger du COVID-19 et de tout autre virus ? Pourquoi ?
Un masque chirurgical n’est pas suffisant face à un virus, seul un FFP2 l’est. Il est bien noté sur nos boites de masques chirurgicaux qu’il n’y a pas de protection contre les virus mais ils nous protègent des postillons (et des giclées de sang pour les dentistes) et donc limite la charge de contact.
Selon l’image tirée du site etudiant-hospitalier.com, on a une idée du pouvoir de filtration des masques.
« L’image ci-dessus montre la taille à l’échelle des pores d’un masque chirurgical (2 µm) et d’un masque FFP 2 (0,3 µm) comparativement au COVID-19 = 0,12 µm. (ou SARS-COV-2 selon Wikipedia). On se rend compte que quand on porte des masques de soins, les virus peuvent rentrer par « camions ». Il y a de la place pour l’entrée des coronavirus par rangées de 16 et dans le meilleur des cas pour les masques FFP 2 les virus peuvent rentrer 2 par 2 (voir 4 par 4). »
Existe-t-il des solutions plus efficaces que le masque ?
Ce virus « se transmet par les gouttelettes nasales ou buccales qui se propagent lorsqu’une personne atteinte de COVID-19 tousse ou expire et qu’une autre personne les inspire ou quand ces gouttelettes se déposent sur les objets autour de cette personne et quelqu’un d’autre touche les surfaces contaminées et se frotte le nez, les yeux ou la bouche. » (d’après l’OMS) Ce sera donc l‘hygiène des mains avec du savon (le Professeur Raoult l’a d’ailleurs précisé de nombreuses fois en parlant de ses études sur les épidémies de gastroentérites au Sénégal, le savon avait été la solution) et la distanciation sociale (pour éviter les miasmes des autres) qui sera efficace.
Mais on oublie également qu’un système immunitaire efficace est également la meilleure solution naturelle pour lutter contre ce virus ! Et là se situe le conflit de Pasteur contre Béchamp : « Il y a une autre manière plus globale et moins rigide de regarder les maladies infectieuses. Et si elles étaient avant tout le résultat de l’interaction entre un organisme et un microbe ? Le terrain d’un côté, le pouvoir invasif et la production de toxines de l’autre, sont des éléments déterminants de cette relation complexe. La réaction de l’organisme à cette présence étrangère est la conséquence de cette relation et c’est elle qui provoque le plus souvent les signes majeurs de la maladie, notamment l’inflammation. » La médecine chinoise a compris il y a plus de 5000 ans qu’un corps et un esprit en bon équilibre était la clé pour rester en santé ! Contre un microbe, le plus efficace est donc un système immunitaire solide, entrainé et disponible !
Avez-vous eu des retours de vos patients à qui vous avez fait des certificats ? Ont-ils été acceptés par leurs employeurs, par les policiers, par les professeurs ? En sachant que dans le protocole sanitaire envoyés aux établissements scolaires, il est indiqué que seul l’avis du médecin référent est censé être pris en compte.
Concernant les certificats je n’ai eu le retour que d’une patiente qui a eu un refus pour entrer en réa pour accompagner un proche. Elle a donc mis son masque.
Vous qui êtes dentiste, et avez le nez proche de la bouche de vos patients, êtes-vous sans arrêt contaminée quand ils sont malades ? Selon vous, pourquoi ?
Un dentiste est en permanence dans une nébulisation de salive. En clair on se fait cracher littéralement dessus à chaque soin.. C’est d’ailleurs pour cette raison que nos mesures d’hygiène ont toujours été drastiques. Contrairement aux médecins toutes les surfaces de la salle de soin sont désinfectées avec un produit virucide et bactéricide puissant après chaque patient. Par contre un masque chirurgical a toujours été suffisant selon nos autorités pour nous protéger et protéger notre personnel.
La réalité du terrain montre que les chirurgiens-dentistes ne sont pas plus infectés qu’une autre catégorie professionnelle. Certes il y en a eu, il y a toujours des soignants qui tombent malade…
Soit le contact direct avec cette nébulisation de salive n’est en réalité pas si contaminant qu’on nous impose l’hypothèse, soit le système immunitaire apprend à se défendre au fur et à mesure des contacts avec les microbes.. on n’est pas malade juste d’être en contact avec un microbe, c’est bien plus complexe. Entre en jeu l’état inflammatoire ou non, l’état émotionnel, l’état global de notre terrain… Depuis le début de cet affolement général je m’amuse souvent à plaisanter en opposant cette maladie à une attaque de zombie ou un accident nucléaire ! Comme si elle avait basculé dans la folie, une partie de la population pense qu’elle va être en malade juste en mettant le nez dehors !! Oui c’est tout simplement de la folie..
Avez-vous reçu des consignes particulières depuis le début de la période COVID-19 ? Lesquelles ?
Oui, c’est notre Conseil de l’Ordre national qui nous a transmis les recommandations de crise, le gouvernement nous ayant totalement oublié en réalité. Nous n’étions pas leur priorité c’est bien normal face au débordement de certains hôpitaux.
Dès le confinement on nous a demandé de fermer nos cabinets et de donner tout notre stock de masques et équipements de protection aux hôpitaux, médecins, infirmiers… Puis à l’annonce du déconfinement, on nous a demandé de reprendre les consultations en nous équipant chacun de FFP2, charlotte, surblouse, visière et lunettes de protection, chaussures fermées.. Évidemment ça a été la foire d’empoigne et l’appel à la débrouille ! Nous avons reçu des protocoles de soins, les recommandations de prise en charge et de nombreux webinaires ont été organisés pour nous apprendre à travailler autrement.
Respectent-elles la loi selon vous ? Que risquez-vous si vous ne les respectez pas ?
Oui elles respectent la loi, car ne sont pas illogiques ni dégradantes. Au départ, le Conseil de l’Ordre nous a menacé de sanctions ordinales et pénales si nous ne respections pas ces recommandations, de fermer nos cabinets, puis de mettre en place ces protocoles. Maintenant, on nous met moins la pression car la situation est en réalité très peu tendue, aucun foyer n’ayant été détecté dans un cabinet dentaire !
De mon côté j’ai redémarré mon exercice en mai comme habituellement (masque chirurgical, je ne peux pas respirer avec un FFP2 et lunettes de protection) en ajoutant seulement une surblouse changée entre chaque patient, des chaussures fermées (je suis en tong habituellement), une visière et un calot (finalement ça protège bien les cheveux de toutes les projections).
En juillet j’avais déjà abandonné surblouse, visière et chaussures..
Vous sentez-vous libre d’exercer votre profession comme vous le souhaiteriez ? Pourquoi ?
Et donc oui, car l’avantage d’être libéral, c’est qu’on est libre de nos choix et j’ai la chance d’avoir une patientèle éveillée qui est ma plus grande source d’informations hors médias et pensée unique ! Eux-mêmes ne veulent pas porter de masque, ni utiliser du gel hydroalcoolique (que j’ai remplacé par un solution maison à base d’huile essentielle de Ravinsara), je n’ai pas eu de malade COVID dans ma patientèle et pas de mort autour d’eux (c’est une demande que je leur fais régulièrement). Mais nous sommes très épargnés dans la région où j’exerce. Les seuls patients en réanimation pendant le confinement étaient des extérieurs.
Quels sont les dangers de ces mesures sanitaires selon vous ?
Les dangers actuels sont que le système immunitaire se construit au contact des différents germes et le masque a le double effet pervers de nous mettre à distance des germes, donc nous sommes moins armés contre les germes extérieurs, et de nous faire inhaler encore plus profondément dans nos poumons nos propres germes par l’hyperventilation provoquée. Ce qui peut provoquer des affections respiratoires bien plus graves.
Le gel hydroalcoolique élimine la barrière naturelle de la peau, c’est un toxique pour le foie. Il a été très critiqué après l’épidémie de SRAS et est utilisé n’importe comment actuellement et de manière délétère car personne ne sait s’en servir.
Pour s’en prémunir, quelles sont les solutions individuelles ou collectives à mettre en oeuvre en tant que professionnel de la santé ? Les appliquez-vous vous-même ?
J’informe énormément mes patients sur les effets du masque et du gel hydroalcoolique. J’explique ce qu’est l’équilibre terrain/germe. Je donne des plantes, de l’homéopathie et des conseils alimentaires pour accompagner vers un terrain plus équilibré. Je fais des certificats de contre-indication pour mes patients qui présentent des troubles liés au masque et je conseille de mettre le masque sous le nez, puisque ce sont uniquement des antipostillons. Je me soigne moi même qu’avec l’acupression, de la phyto, de l’aroma, de l’homéopathie…
En tant que citoyens ?
J’utilise les réseaux pour faire circuler les informations qui me semblent justes, bien documentées et avec des bases scientifiques solides. Je sème des graines autour de moi (et je vois ce qui pousse). Je ne prétends pas détenir la vérité, mais je lutte contre la pensée unique manipulatrice et dictatoriale. Même la science ne sait pas tout !
Image de couverture
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