« Un vaccin à base d’Omicron » : énième coup marketing de Pfizer ?
Accusé de charlatanisme par le passé, et impliqué dans des scandales sanitaires à travers le monde, le leader en parts de marché mondial annonce l’arrivée de son vaccin contre Omicron.
La pandémie de Covid–19, un terrain lucratif où Pfizer trouve de nouveau à rouler sa bosse. Depuis sa création en 1849, et à la tête de 785 millions de patients dans le monde, la société a fait du chemin : charlatanisme, cas d’inconduite, promotion abusive et corruption, c’est à partir de 1995 que le géant se forge une réputation peu recommandable. Mêlé à des affaires judiciaires qui émergent les unes après les autres, Pfizer sait se frayer une place de choix dans la bataille contre le Covid–19.
◆ « Éthique et transparence » : une promesse qui sonne faux
« Nous agissons en garantissant une éthique absolue dans toutes les activités que nous menons. Cela nous définit en tant qu’entreprise et individus. Agir avec intégrité nous aide à gagner la confiance et le respect des personnes que nous servons », telle est la promesse du site officiel Pfizer. Il s’agit alors de fermer les yeux sur une succession de sombres affaires. Parmi les plus éloquentes, celle du virus synthétique, le dossier Cahuzac ou le Trovan au Nigeria, responsable du décès de onze enfants. Une liste non exhaustive mais édifiante qui entache le parcours du géant pharmaceutique.
Scandale d’Etat ? #Pfizer non responsable en cas d’effets indésirables, selon une clause du contrat signé avec l’Etat français. Me Lanzarone, attaque la société au nom de son client, un enfant de 13 ans qui a perdu 90% de la vue après sa première dose. pic.twitter.com/IiVuvqGIuW
— France 3 Provence (@France3Provence) January 29, 2022
◆ Pfizer synonyme d’escroquerie ?
Le charlatanisme, c’est « l‘Art d’abuser de la crédulité publique ». En d’autres termes, le charlatan est un escroc. Un guérisseur qui travaille la pratique de son art en bluffant le monde, sur fond d’impostures. Une renommée maintes fois entachée, mais loin de freiner le leader qui annonçait, via son compte Twitter, poursuivre un travail de préparation aux futurs variants potentiels : « Aujourd’hui, avec BioNTech, nous avons annoncé le lancement d’une étude évaluant un vaccin à base d’Omicron chez les adultes de 18 à 55 ans », précisait le 25 janvier 2022 son directeur général, Albert Bourla.
À la tête de plus de 36 milliards de chiffre d’affaires en 2021, et d’un profit de 65 000 dollars par minute combinés avec BioNTech et Moderna, Pfizer cultive son art et annonce la venue d’un prochain vaccin contre le variant Omicron.
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