Le père de la génodique est mort Science

Joël Sternheimer, père de la génodique, a tiré sa révérence

Le 31 décembre 2023, le docteur en physique théorique et mélomane Joël Sternheimer, inventeur de la génodique, quittait ce monde. Nous avions dédié plusieurs de nos articles papier à cette science qui soigne en mêlant génétique et musique.

◆ La musique des protéines soigne les plantes, les animaux et les humains

Telle est la découverte du physicien Joël Sternheimer, créateur de la génodique. De quoi s’agit-il ? Au moment de s’assembler pour former les protéines, les acides aminés émettent des ondes qui, transcrites en musique, composent des mélodies, appelées protéodies. Or, la diffusion de ces protéodies a un effet stimulant ou inhibant sur la synthèse des protéines. Cette approche révolutionnaire a fait ses preuves depuis des années dans l’agriculture et la santé.

Nexus avait devancé l’info

Avec douze ans d’avance sur la presse mainstream, nous avions publié « Protéodie, de la musique quantique comme engrais » (Nexus n° 40 – sept.-oct. 2005). D’autres articles sur ce sujet ont été publiés dans le numéro 48 (janv.-févr. 2007) et numéro 67 (mars-avril 2010). Après tant d’années, Le Figaro du 13 nov. 2017 rapporte qu’un agriculteur des Bouches-du-Rhône sauve ses courgettes contaminées par le virus de la mosaïque en diffusant de la musique tous les soirs. Les protéodies découvertes par le physicien et mélomane Joël Sternheimer sont à l’origine de ce succès. « Lors du processus de synthèse des protéines, les acides aminés produisent des notes. Une mélodie spécifique à chaque protéine est ainsi émise », précise Michel Duhamel, président de la société Genodics qui développe et commercialise les applications de la génodique.

Ce nouveau concept de biologie ondulatoire a aidé plus de 130 agriculteurs à lutter contre des pathologies qui menaçaient leur production. Une technique thérapeutique pour les plantes et les hommes à (re)découvrir dans nos articles « Protéodies (1re partie) : une médecine cachée dans la musique » et « Protéodies (2e partie) : une science qui dérange ? » parus dans Nexus n° 109 (mars-avril 2017) et n° 110 (mai-juin 2017) !

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Image principale tirée du site genodics.com

 

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