Dioxyde de chlore : nos lecteurs témoignent de leur expérience
Nous avons publié dans notre numéro 151 de mars-avril 2024 un article sur le dioxyde de chlore, auquel certains attribuent de grandes vertus thérapeutiques. Le 29 mars, nous avons fait un appel à témoignages via nos réseaux sociaux. Voici les retours de nos lecteurs que nous avons reçus.
1) Témoignage de Sarah Clément sur les effets du CDS sur plusieurs pathologies ou en prévention
Bonjour Nexus,
Suite à votre post sur votre page Facebook, voici un retour d’expérience d’utilisation du dioxyde de chlore sur de nombreuses années.
Forme utilisée : E.D. Goodloe’s aerobic oxygen – Sano solution – 70 ml
Composition : eau, électrolytes, chlorure de sodium, carbonate de sodium, chlorite de sodium et sulfate de sodium
Solution liquide achetée sur le site Navoti.fr puis ramenée directement des US lors de déplacements professionnels quand on ne la trouvait plus en France.
-> Aux alentours de 2010, le site marchand Navoti nous a envoyé cette solution pour la tester.
-> Il fallait tester si consommer 5 gouttes dans un verre d’eau ou jus de fruits donnait un coup de fouet « énergétique ». Nous avons effectivement constaté un regain d’énergie en cas de fatigue.
Par la suite, nous avons appris qu’aux US, il était consommé pour d’autres choses et c’est ainsi que nous avons étendu son utilisation et pouvons confirmer son efficacité :
-> Pendant un mois, au cours d’une mission humanitaire au Guatemala : à raison de 5 gouttes pour 25 à 30 cl, nous avons désinfecté l’eau que nous buvions quand on n’avait pas d’eau minérale. Nous en avons bu à chaque fois que des aliments nous paraissaient « douteux » et que nous ne pouvions en refuser la consommation pour ne pas vexer nos hôtes. Nous ne sommes jamais tombés malades contrairement aux collègues qui ne voulaient pas en prendre (intoxication alimentaire confirmée).
-> On l’utilise aussi pour se désinfecter les sinus avec un pot neti : 5 à 10 gouttes dans l’eau en fonction de l’infection + sel (1 cuillère du pot neti).
-> On désinfectait les plaies (quelques gouttes sur un disque coton imbibé d’eau). Maintenant, on utilise l’argent colloïdal puisque c’est plus facile à trouver.
-> Lors de périodes virales, nous en avons pris à raison de 10 à 20 gouttes par verre d’eau (2 ou 3 fois par jour selon la gravité des symptômes) et avons stoppé rhumes, maux de gorge, maux de tête, état grippal, etc. On en a également donné à notre neveu de 5 ans dont les 2 parents avaient une grippe carabinée et ce dernier n’a pas été grippé. Les seules fois où il a été malade, c’est parce que ses parents ont oublié de lui en donner. Ils ont même fini par en prendre eux-mêmes quand on a pu s’en procurer aux US.
-> L’E.D. Goodloe’s aerobic oxygen fonctionne très bien aussi en cas de gastro-entérite, il stoppe la gastro si c’est pris dès les premiers signes ; sinon, en cas de gastro bien installée, ça la stoppe en 1 ou 2 jours (10 à 15 gouttes pour 20 cl 3 fois par jour pour un adulte, 5 à 10 pour un enfant de moins de 10 ans).
-> Mon frère en a pris quand il a eu le Covid, il a guéri rapidement.
En résumé, pour nous, le dioxyde de chlore ça fonctionne, c’est simple à utiliser, dommage qu’on ne puisse pas s’en procurer facilement en France.
Cordialement,
Sarah C. R.
Lire la première partie de notre article sur le dioxyde de chlore dans notre n° 151 de mars-avril 2024 :
2) Témoignage d’Éric Dupuis sur son cancer
Bonjour,
Voici mon expérience avec le dioxyde de chlore.
Diagnostiqué d’un cancer prostatique agressif de stade 4, je suis tombé par hasard sur une vidéo parlant de ce traitement. J’ai commandé le livre d’Andreas Kalcker.
Étant dans l’attente d’une opération, j’ai décidé de commencer le protocole dédié à ma pathologie, avec boisson au goût infect et lavement simple après passage aux toilettes. Lavement un jour sur deux avec une solution de 1,5 litre, un bain complètement immergé le deuxième jour.
Au début, les résultats étaient encourageants puisque les taux de PSA diminuaient petit à petit, jusqu’à 25 % en dessous des seuils de départ.
J’avais aussi utilisé le DMSO qui, après quelques jours, vous donnait une odeur d’asperge. Preuve que le corps était bien imprégné.
Après 4 mois et demi, les taux sont repartis à la hausse. Le taux à la fin était pratiquement équivalent au taux de départ.
Je suis artisan-commerçant dans une cité touristique et les mois de juillet et août représentent une intense activité, donc beaucoup de fatigue. J’attribue cette remontée à la fatigue, mais aucune certitude.
J’ai continué encore pendant un mois et demi. J’ai arrêté le traitement lorsque j’ai été sondé à cause d’un blocage urinaire. Je ne savais pas si le CDS pouvait abîmer la sonde.
J’ai tenté d’avoir des réponses via l’association de Kalcker. Il fallait payer une cotisation de 32 euros. Ils m’ont répondu que l’association ne répondait pas aux questions médicales. Si j’avais eu une réponse à ce problème, j’aurais continué jusqu’à l’opération et même au-delà.
C’est un protocole lourd, très désagréable autant pour le goût que pour les douleurs occasionnées lors des lavements.
Aujourd’hui encore, je me dis que ce protocole a permis de contenir la prolifération.
Mon expérience ne vaut pas « étude ». Je présume que beaucoup de facteurs doivent être pris en compte.
Cette pratique a eu le mérite d’entretenir ma positivité face à la maladie.
C’était en 2022, protocole suivi d’avril à mi-octobre. Fin décembre, j’ai subi l’opération.
Aujourd’hui, je vis au rythme des analyses trimestrielles, toujours dans l’attente du résultat.
Malheureusement, je fais face à un cancer agressif qui reprend doucement, me rapprochant des séances de radiothérapie.
Des études montrent que les cancers pourraient être dus à des parasites, thèse déjà développée par le Dr Hulda Clark dans les années 80. Elle a mis au point un programme de déparasitage à base de produits naturels. Ayant la volonté d’être proactif, je suis actuellement ce protocole, toujours associé au régime cétogène et aux compléments alimentaires pouvant aider mon corps.
Je verrai si ça a un impact sur la progression de la maladie mi-juin.
Voici mon témoignage.
Belle journée
3) Témoignages de Maître X sur problèmes intestinaux et les sinus
Petit témoignage : trois jours d’intoxication alimentaire sévère (ou de grippe intestinale ou de gastro, je l’ignore).
Je n’ai pas encore le « réflexe CDS ». Pendant deux jours, je ne peux rien avaler, y compris pas grand-chose de liquide. Je suspends donc le protocole C que je prends régulièrement depuis près de 6 mois, car tout ce que j’avale provoque des douleurs abdominales. Et je vous passe les détails sur l’intensité de la diarrhée subie.
Au troisième jour, je pense (enfin !) au protocole U. Je vérifie dans l’ouvrage d’Andreas Kalcker, et je me prépare 12 ml de CDS pour 400 ml d’eau, je bois cela en 2 fois, à 2 h d’intervalle.
Première prise hier (vendredi) à 13 h. Seconde prise à 15 h.
Les douleurs abdominales (et abominables) cessent vers 17 h.
Le soir, je mange normalement. Les intestins se remettent doucement et me laissent tranquille, je me sens enfin parfaitement bien.
Ma fille (19 ans), qui a eu la même chose que moi exactement en même temps, a refusé de tester mon remède (ces jeunes adultes sont parfois des têtes de mule). Elle continue à être malade.
Je ne peux donc pas assurer que ça ne serait pas passé tout seul, mais je sens que ça a fait du bien, et assez rapidement.
Le lendemain matin, 6 h 50
Ma fille : Maman, ça ne va toujours pas mieux (douleurs abdominales et diarrhée violente).
Moi : Tu peux toujours essayer le CDS… (P’tit air qui sifflote)
Elle : OK, je veux bien essayer.
Donc prise à 7 h. Et elle prendra la seconde à 9 h. Puis je vous raconte ce soir.
Dernier épisode : je reviens vers 18 h 30.
Ma fille, qui était vraiment K.-O. ce matin avec tous les symptômes qui continuaient, se porte à présent à merveille. Elle n’a pas été bosser, ce qui n’arrive quasiment jamais.
Elle vient d’admettre à l’instant que « oui, OK, Maman, ton truc ça marche pas mal du tout… ».
Et avec ça, elle est en pleine forme.
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CDS et sinus
Je viens de m’apercevoir que le CDS avait un autre effet positif. Je m’explique.
Depuis des années, j’ai tendance à avoir les sinus qui se bouchent dès que je me mets au lit. Surtout en automne/hiver. Ceci me valait d’utiliser régulièrement des gouttes nasales lorsque cela m’empêchait de m’endormir. Rien de bien grave, je vis avec et c’est tout. J’ai toujours mis ça sur le compte de la déformation de la cloison nasale suite à un accident de trampoline quand j’étais ado. En outre, je fais en général une sinusite carabinée par hiver, dates variables entre octobre et mars. Pour le reste, je ne suis jamais malade et n’ai pas le souvenir d’avoir eu la moindre grippe ou autre maladie du genre de toute ma vie.
Hier soir, en faisant un peu d’ordre sur ma table de nuit, je me suis soudain rendu compte que je n’ai pas eu besoin de gouttes nasales depuis plus d’un mois… La seule chose qui a changé dans mon mode de vie cet hiver, c’est du CDS (protocole C : 10 ml/litre d’eau, 5 jours sur 7) que je prends depuis début novembre. Et pour l’instant, pas l’ombre d’une sinusite cet hiver (mais l’hiver n’est pas fini, donc j’observe).
Donc, je me dis :
1° – Que je vais faire des économies de gouttes nasales.
2° – Que c’est très confortable de s’endormir systématiquement en respirant tout à fait normalement.
3° – Et que finalement, la cause de cette petite particularité n’avait peut-être rien à voir avec mes rebonds incontrôlés sur ce trampoline à l’âge de 13 ans…
Lire la seconde partie de notre article sur le dioxyde de chlore dans notre n° 151 de mars-avril 2024 :
4) Témoignage d’Helen W., de l’Aude
Bonjour Nexus,
Dioxyde de chlore : c’est le premier article que j’ai lu quand j’ai reçu le numéro 151. Très contente que vous parliez de ce produit.
C’est un ami canadien de passage en France qui m’a parlé du dioxyde de chlore, en 2008, et d’un certain Jim Hubble ayant écrit 2 livrets dans lesquels il raconte ses expériences de lutte contre la malaria en Afrique de l’Est.
Mon expérience : en 2009, j’ai fait une commande de MMS (ça s’appelait comme ça en 2009, à ne pas confondre avec le CDS d’Andreas Kalcker). J’ai commencé une cure en suivant le protocole de Jim Hubble. Je n’avais aucun problème de santé, mais comme je suis curieuse, j’ai voulu expérimenter.
Premier jour : 1 goutte de MMS avec 5 gouttes de jus de citron frais pressé dans un verre, attendre 3 minutes, ajouter de l’eau et avaler ce mélange 2 fois par jour.
Le lendemain, passer à 2 gouttes de MMS et 10 gouttes de jus de citron frais pressé dans un ½ verre d’eau.
Puis chaque jour, augmenter d’une goutte de MMS, etc. Et c’est comme ça que j’en suis arrivée à 12 gouttes de MMS 2 fois par jour. Et j’ai arrêté car c’était la dose au-delà de laquelle je ne pouvais plus aller.
Même sans avoir de problèmes de santé :
- Le premier effet ressenti est le nettoyage intestinal qui se fait en douceur.
- Puis c’est la respiration qui se fait plus facilement, comme si les poumons prenaient plus de volume pour une meilleure oxygénation.
- Plus d’énergie physique et de clarté mentale.
En 2023, j’ai refait une cure pendant 3 semaines, mais avec des doses moins importantes, à savoir : 2 gouttes de MMS par jour afin de réduire une inflammation du genou. J’ai arrêté quand mon genou n’a plus été douloureux.
À titre de prévention, je fais une cure de temps en temps quand j’en ressens la nécessité. Pendant la période « Covid », j’ai fait une cure et je n’ai rien attrapé. (Avec vitamines C, D et zinc quand même.)
Quand j’ai dû m’arrêter (12 gouttes de MMS 2 fois par jour), j’avais l’impression que tout sentait le chlore : l’air ambiant, ma respiration, même ma nourriture. Inconvénient qui s’estompe très vite dès l’arrêt de la prise de MMS.
Cette expérience m’a montré que même sans problème de santé, on peut l’utiliser à titre préventif. J’ai toujours dans ma pharmacie du MMS, et des citrons frais dans mon placard, car je n’aime pas utiliser l’acide citrique (question de goût).
Michel Dogna a très bien expliqué le protocole d’utilisation du dioxyde de chlore dans ses lettres, ça peut servir pour ceux qui voudraient l’utiliser.
Merci à vous de nous informer différemment grâce à votre revue.
Voir notre interview avec Andreas Kalcker, l’inventeur du CDS, sur Odysee (vidéo censurée sur Facebook)
5) Témoignage d’Emmanuelle L. sur notre page Facebook
J’ai entendu parler de ce traitement pendant le coco et, depuis, je le fabrique moi-même et l’utilise au quotidien en entretien, à faible dose, dilué dans 1 litre d’eau que je bois seulement le soir, et si début de mal de gorge ou autres maux, j’en bois quelques gorgées sur la journée. Depuis, plus de rhumes, ni d’angines, ni de gastros, etc. J’ai 53 ans et je n’ai pas vu un médecin depuis 5 ans !
Je vous laisse le lien du site du Dr Kalcker avec les différents protocoles expliqués selon les pathologies.
6) Deux très courts témoignages sur notre page YouTube
Jamais une amélioration sérieuse et durable avec le CDS
@lyslys9308
Oui, liquide qq gouttes tous les jours pendant une grosse grippe, super
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Vous pourrez trouver d’autres témoignages sur cette page Telegram
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