Self-spreading vaccines, ou les vaccins qui se transmettent par simple contact
Si des médias comme LCI affirment que les vaccins contre la COVID-19 ne sont pas des self-spread vaccines, ou autrement dit, des vaccins auto-diffusants, concentrons-nous sur cette technique afin de savoir si elle a déjà été étudiée et utilisée, ainsi que sur les questions scientifiques et éthiques qu’elle soulève.
La guerre de l’information sur la crise sanitaire n’en finit pas.
C’est en tout cas ce que l’on est en droit de penser en lisant l’article de LCI du 10 mai 2021 : « Non, les personnes vaccinées ne transmettent pas de virus aux autres ».
◆ Des interprétations multiples
L’article de LCI cite le document Pfizer relatif au protocole de l’essai clinique en phase 1, 2, et 3 (146 pages en anglais) et notamment le chapitre qui fait débat, à savoir celui concernant l’exposition à un essai clinique durant la grossesse (ou EDP en anglais) des femmes enceintes page 67 : « Une exposition pendant la grossesse se produit si (…) On constate qu’une femme est enceinte alors qu’elle est exposée ou a été exposée à l’intervention de l’étude en raison d’une exposition environnementale. Voici des exemples d’exposition environnementale pendant la grossesse :
– Un membre de la famille ou un prestataire de soins de santé signale qu’elle est enceinte après avoir été exposée à l’intervention étudiée, par inhalation ou par contact avec la peau.
– Un membre de la famille ou un prestataire de soins de santé de sexe masculin qui a été exposé à l’intervention étudiée par inhalation ou par contact cutané expose ensuite sa partenaire féminine avant ou autour du moment de la conception. »
Pour LCI, cette précision écrite dans le document « ne signifie pas que le vaccin puisse le faire. C’est simplement une précision d’ordre légal. »
La mention « précision d’ordre légal » mériterait justement d’être précisée. De quelle loi s’agit-il ? Aucune n’est citée. Et si cette précision ne signifie pas que le vaccin puisse être forcément transmis par inhalation ou par voie cutanée pendant l’étude, le fait même de citer ce genre de précautions à prendre pendant l’étude semble signifier qu’il est susceptible de l’être !
On peut alors légitimement se demander : Si une femme enceinte est susceptible d’être contaminée par une personne vaccinée de son entourage, par simple inhalation ou contact physique, pourquoi en serait-il autrement pour tout type de personne ? Les autres êtres humains, ne disposent-ils pas également de peau et de nez ?
◆ Des vaccins qui se dispersent parmi la population qui existent bel et bien
L’article de LCI indique que c’est une interprétation erronée que de dire qu’il existe des vaccins auto-propagateurs contre la COVID-19 évoqués dans un rapport intitulé « Technologies pour faire face aux risques biologiques catastrophiques à l’échelle mondiale » rédigé par le Centre pour la Sécurité de la Santé de Johns-Hopkins en 2018, et donc avant la crise sanitaire. L’article explique néanmoins que ce document fait « le bilan sur les technologies existantes afin de répondre aux “risques de catastrophes biologiques mondiales” », dont les self-spreading vaccines évoqués page 45, « génétiquement conçus pour se disperser dans la population ». C’est-à-dire, des vaccins qui se transmettent à partir d’une personne vaccinée à toutes les personnes qui seraient en contact avec elle. Les chercheurs du rapport sont dithyrambiques à leur sujet : « ces vaccins pourraient augmenter de façon spectaculaire la couverture vaccinale des populations humaines ou animales sans qu’il soit nécessaire de réaliser d’injection individuelle. »
Les journalistes de LCI se veulent-ils rassurants lorsqu’ils détaillent que « Certains vaccins, dits “à virus vivants”, utilisent en effet cette technique », par exemple un vaccin contre la polio et un vaccin antirotavirus, mais que ces produits « ne sont plus inoculés ? » LCI cite alors également les arguments de Jasmine Reed, spécialiste des affaires publiques de l’agence sanitaire américaine (CDC). Selon elle les vaccins contre la COVID-19 « n’utilisent pas le virus vivant qui cause le Covid-19, et ne peuvent donc pas provoquer la maladie. Par conséquent, les personnes qui reçoivent un vaccin Covid-19 ne peuvent pas excréter le virus ou le vaccin. » On peut tout de même se poser les questions suivantes : est-ce qu’autres types de vaccins sont auto-diffusants et sont utilisés actuellement parmi la population, ou sont en passe de l’être bientôt ? Et est-ce que seul le virus vivant issu d’un vaccin peut être excrété et « contaminer » autrui ? Dans le cadre d’un self-spreading vaccine, est-ce que d’autres substances que le virus se dispersant entre les personnes sont susceptibles d’être toxiques ? Si oui, avec quelles conséquences ?
◆ Des vaccins qui ne sont pas nouveaux
Une étude de 2016 publiée sur Pubmed « Self-disseminating vaccines for emerging infectious diseases », (ou « vaccins auto-diffusants pour les maladies infectieuses émergentes » en français) porte sur ces vaccins transmissibles. Leur intérêt est d’administrer une injection à quelques animaux d’un même groupe, sans qu’il soit nécessaire d’injecter le vaccin à chacun – gain de temps et d’argent assuré donc. L’idée étant initialement d’éviter une propagation d’agents pathogènes des animaux vers les humains. La technologie génétique CRISPR/Cas9, visant à « couper l’ADN à un endroit précis du génome, dans n’importe quelle cellule », est également mentionnée, car elle permet de faciliter ce processus en ciblant plus précisément le pathogène.
Si cette étude de 2016 évoque l’efficacité de tels vaccins sur des animaux, ne reste-t-il plus qu’un pas pour les rendre accessibles aux humains ?
Et c’est d’ailleurs ce que titre le magazine New scientist le 19 août 2020 « We now have the technology to develop vaccines that spread themselves ». Comprenez : « Nous avons maintenant la technologie pour développer des vaccins qui se propagent d’eux-mêmes ». Là encore, il est d’abord question d’utilisation pour les animaux, afin d’éviter la propagation d’infections à l’espèce humaine. Mais la fin de l’article évoque aussi des prototypes en cours pour plusieurs virus chez les humains (comme Ebola) et conclut avec ces arguments : « Les vaccins auto-diffusants pourraient constituer une technologie révolutionnaire pour réduire la menace des maladies infectieuses humaines qui nous parviennent des animaux sauvages. En plus de rendre la vaccination des animaux sauvages faisable et rentable, cette technologie réduit la motivation à abattre ou à exterminer des espèces réservoirs de maladies écologiquement importantes, comme les chauves-souris. Cependant, il reste encore beaucoup de travail à faire. Des essais en laboratoire et sur le terrain doivent permettre de vérifier l’efficacité de cette approche et d’identifier les éventuelles conséquences inattendues de l’autodissémination des vaccins des vaccins auto-disséminés. Mais alors que les coûts de nos tentatives actuelles pour trouver un “remède” au covid-19 continuent de s’accumuler, une once de prévention semble être un meilleur investissement chaque jour qui passe. »
Ces nouveaux types de vaccins ont aussi fait l’objet d’une étude en 2018 : « Transmissible Viral Vaccines » (ou, « Vaccins transmissibles contre les virus ») On peut y apprendre que, pour que la propagation soit suffisamment efficace, le virus injecté ne doit pas être trop atténué : « Les données actuelles suggèrent que l’atténuation est minimalement compatible avec la transmission ».
C’est ce qui est représenté dans le schéma ci-dessous :
Propriétés épidémiologiques basiques de vaccins transmissibles.
Chaque ligne représente une population donnée à un instant T.
L’échelle du temps est représentée de haut en bas sur le schéma.
Les cercles gris sont les individus vaccinés. Les cercles vides sont ceux qui sont susceptibles de l’être. Les flèches représentent la transmission du vaccin d’un individu à l’autre. Les individus vaccinés directement sont ceux vers lesquels aucune flèche ne pointe.
(A) Vaccin faiblement transmissible (atténué). La vaccination directe a lieu au début, et la transmission du vaccin s’éteint rapidement.
(B) Vaccin hautement transmissible (recombinant) : le vaccin se propage.
L’article explique ainsi que la génétique appliquée aux virus a ouvert la porte à de nouvelles propriétés de virus vivants : la transmission entre les hôtes. L’exploitation d’une telle discipline implique la collaboration de biologistes spécialisés, d’ingénieurs du génome et d’épidémiologistes.
Mais des remarques et questions fondamentales sont soulevées par les auteurs de l’étude :
– La transmission du vaccin dépend du terrain immunitaire de chacun.
– Comment faire pour que le vaccin ne soit transmis qu’une seule fois (ou un certain nombre de fois) ?
– L’intérêt d’une telle transmission dépend-t-il de l’immunité conférée par le vaccin, ou simplement de bloquer la propagation et diminuer les symptômes du virus naturel ?
– Comment l’immunité croisée est-elle impactée dans ce cas ?
◆ Des témoignages inquiétants
Aujourd’hui, on commence à voir émerger certains témoignages sur les réseaux sociaux, laissant penser que le stade de l’étude est peut-être dépassé et que la fiction est en train de devenir réalité. Comme par exemple celui de cette américaine qui a posté 80 témoignages sur son profil présentant des pathologies plus ou moins lourdes (symptômes du COVID-19, règles hémorragiques avec caillots de sang, fausses couches…) après avoir fréquenté des personnes vaccinées.
◆ Des journalistes s’inquiètent
Nous ne sommes pas les seuls à nous interroger sur les réelles capacités, les vertus et dangers de ces vaccins concoctés à la va-vite. Certains médias s’inquiètent aussi des risques de tels vaccins, comme l’hebdomadaire bruxellois The Bulletin qui écrivait en septembre 2020 : « Les vaccins transmissibles pourraient entraîner de sérieux risques et la perspective de leur utilisation soulève des questions difficiles. Qui décide, par exemple, où et quand déployer un vaccin ? Une fois propagé, les scientifiques n’ont plus aucun contrôle du virus. Il peut muter comme tous les virus le font naturellement. Il peut aussi passer d’une espèce à une autre ou franchir les frontières, et ainsi provoquer des résultats inattendus et des conséquences involontaires, comme il y en a toujours. »
Après avoir mis en avant l’aspect positif lié au contrôle de la propagation de virus animaux envers les humains, l’article du site de L’Express britannique émet également quelques réserves plutôt sombres lorsqu’il évoque « la fuite et la circulation du vaccin vivant contre la polio comme exemple d’une conséquence négative involontaire de l’utilisation de cette méthode », et conclue « Mais le processus de fabrication d’un virus pour disséminer un vaccin protecteur de la santé humaine, pourrait être facilement détourné au profit d’un virus létal se propageant rapidement à l’échelle de la planète. Cette option des vaccins transmissibles utilisés comme armes, a probablement déjà été considérée et développée. C’est d’ailleurs ce qu’il s’est passé durant l’Apartheid en Afrique du Sud, où des scientifiques ont développé un vaccin anti-fertilité pour cibler certaines populations. Cette recherche des plus sinistres a été appelée le projet Coast (de 1981 à 1995) (…) La Commission sud-africaine de vérité et de réconciliation, créée après l’apartheid, a été informée par les scientifiques à l’origine des recherches que le projet s’inscrivait dans le cadre des tentatives de l’Organisation mondiale de la santé de contrôler le boom démographique mondial. »
◆ Une foison de questionnements scientifiques et éthiques
La liste des questions supplémentaires à se poser est encore longue : si ces vaccins auto-diffusants venaient un jour à être mis copieusement sur le marché
– Comment ces nouveaux vaccins interagiraient-ils avec d’autres traitements médicamenteux ou d’autres vaccins ?
– Que se passerait-t-il pour les personnes non vaccinées, à qui le vaccin serait transmis de manière fortuite, et qui présenteraient des risques allergiques à un des composants du vaccin ?
– Et si le self-spreading vaccine touchait une personne ayant déjà été immunisée naturellement ou via le vaccin, quelle serait la réaction de son organisme ?
– Et pour ceux qui n’ont pas choisi d’être vaccinés ? Seraient-ils vaccinés contre leur gré ? Que deviendrait alors le consentement libre et éclairé ?
◆ La barrière des « anti-vax » à forcer
Peut-être est-ce justement un des enjeux de la vaccination actuelle : passer outre les contestations et les doutes émis par les mouvements appelés « anti-vax », étiquetés ainsi même lorsque certains d’entre eux se posent seulement des questions et exigent des réponses au sujet des vaccins.
Il en est justement question dans un autre document du centre Johns-Hopkins, financé en partie par l’OMS, la Fondation Gates et la Fondation Rockefeller, et dont la mission est de réaliser des recherches, de publier des analyses pour le compte des gouvernements et des fondations, afin de « protéger la santé des personnes face aux épidémies et aux catastrophes, et garantir la résilience des communautés face à des défis majeurs ». Le document en question intitulé The SPARS pandemic décrit un scénario futuriste (entre 2025 et 2028) en plusieurs chapitres, dont le but est d’évaluer et d’anticiper les différents paramètres en cas d’épidémie mondiale. Exercice qui a également été réalisé grandeur nature, sous forme de jeu de rôles en plusieurs actes – qui n’est pas sans rappeler l’Event 201 de la fondation Bill et Melinda Gates…
Dans le document, un chapitre entier est consacré aux anti-vax, associés essentiellement à des motifs religieux. Mais il y est aussi beaucoup question de communication sur les réseaux sociaux pour pouvoir contrer efficacement les doutes et les critiques liés aux mesures sanitaires prises par le gouvernement. Vous trouverez sur Youtube l’ensemble des vidéos de ce projet appelé aussi Clade X.
◆ Les « anti-vax » étudiés de près
Les opposants à la vaccination font d’ailleurs l’objet d’études scientifiques. Ainsi on trouve sur Pubmed quelques études intéressantes, mettant en évidence l’enjeu des vaccins et la communication qui en est faite aujourd’hui :
– Geographic and demographic correlates of autism-related anti-vaccine beliefs on Twitter (Corrélats géographiques et démographiques des croyances anti-vaccins liées à l’autisme sur Twitter). Sortie en 2017, cette étude a identifié, à l’aide de logarithmes, des propos anti-vax dans 549 972 tweets entre 2009 et 2015. Le but étant de surveiller les inquiétudes et les « fausses idées » pour établir un indicateur de l’opinion publique et fournir des arguments aux médecins.
– COVID-19 Vaccine Messaging ( Cette étude de l’université de Yale de juillet 2020 explique comment argumenter pour faire pression sur les personnes réfractaires au vaccin et encourager la vaccination.
– Une autre étude américaine réalisée par Ipsos en octobre 2020, dresse un état des lieux de l’opinion publique dans 15 pays (à partir d’un échantillon de 18 526 adultes) : Global attitudes on a COVID-19 vaccine. (Attitudes mondiales à l’égard d’un vaccin contre le COVID-19) On y apprend notamment que la France fait partie des pays les moins favorables au vaccin COVID-19 (41% contre), avec la Pologne (45%) et la Russie (46%). Parmi ces opposants au vaccin du COVID-19, la France ne compte que 24% d’anti-vaccin en général, contre 30% pour l’Italie et la Russie.
◆ Conclusion
Ces différents écrits soulèvent des questions essentielles : si le vaccin est si sûr, alors pourquoi toute cette agitation, cette censure médiatique et cette propagande gouvernementale (matraquage des spots télé, dans les transports, dans la rue…) ? Pourquoi ce besoin de convaincre à tout prix ? Lorsqu’un traitement fonctionne, il n’est nul besoin de convaincre et d’en faire la promotion… Pourquoi est-il si compliqué de prouver l’imputabilité des effets secondaires aux vaccins, et donc d’en déterminer les responsables parmi les laboratoires, médecins et gouvernements, qui semblent tous vouloir se dédouaner au maximum ? Pourquoi la FDA (Food and Drug Administration) prendrait-elle la peine d’amender régulièrement cette fiche d’information à l’attention des soignants qui administrent le vaccin, pour reformuler certains passages, et indiquer clairement qu’elle a dû autoriser la mise sur le marché du vaccin de Pfizer en urgence alors qu’ il n’est pas autorisé en réalité ? « La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a délivré une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour permettre l’utilisation d’urgence du produit non approuvé, le vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech. »
Ces derniers remaniements sémantiques sont-ils liés à l’afflux de témoignages d’effets secondaires sur Internet ? Et/ou au fait que le pourcentage d’ARN « intègre » était bien moindre dans les vaccins injectés à la population que dans les lots de vaccins utilisés dans les précédents essais cliniques, comme l’explique cet article du Monde du 16 janvier 2021 ? « Le degré d’intégrité de l’ARN est l’élément crucial de ce vaccin qui permet, une fois injecté dans les cellules, de fabriquer la protéine Spike du virus et ainsi apprendre au système immunitaire à reconnaître ce pathogène et le neutraliser. Les vaccins utilisés lors des essais cliniques possédaient entre 69 % et 81 % d’ARN « intègre », c’est-à-dire la séquence entière permettant de fabriquer la protéine Spike. En revanche, des données sur les lots fabriqués dans ces nouvelles lignes de production révélaient des pourcentages plus faibles, 59 % en moyenne. Certains lots descendaient même jusqu’à 51 % et 52 %. Un « point bloquant », dit l’EMA le 23 novembre. » Autant de données qui ne font que susciter davantage de méfiance.
Revenons à l’article de LCI et plus précisément à son titre ; « Non, les personnes vaccinées ne “transmettent” pas de virus aux autres ». Si à ce jour, des articles comme celui-ci affirment que les vaccinés ne transmettent pas le COVID à cause du vaccin, on peut affirmer également que les vaccinés peuvent attraper le COVID-19 et rien ne prouve qu’ils ne puissent ensuite le transmettre. Même M Fischer, président du Conseil d’Orientation de Stratégie Vaccinale, l’avait dit avant leur mise sur leur marché.
S’il s’avérait un jour que des vaccins se propagent à notre insu, sans consentement libre et éclairé, il sera alors temps de se poser les bonnes questions et d’agir en conséquence (et en conscience). Et comme le répète le Dr. Louis Fouché dans ses interventions, pourquoi ne laisserions-nous pas tomber ce vieux monde qui s’écroule sur lui-même, pour consacrer notre temps et notre énergie à ce qui fait sens, et pour créer le monde dont nous rêvons ?
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