ARTICLE EN LIBRE ACCÈS ! « Thérapie du lit incliné ou comment se soigner en dormant »
NEXUS n° 105 (juillet-août 2016).
Novembre 2016
Une pente de 10 cm me convient très bien !
Je suis abonné à NEXUS depuis quelques années et, sans être dithyrambique, je tenais à remercier toute l’équipe, y compris les intervenants extérieurs, pour la qualité des articles, des recherches effectuées, de la diversité des sujets traités.
En ce qui concerne le “Lit incliné”, je l’expérimente depuis environ 1 mois. La déclivité conseillée (15 cm) m’a été, de suite, inconfortable : glissement et appui prononcé sur le pied du lit ne facilite pas le repos des jambes et oblige, souvent, à se replacer à la tête du lit.
Donc j’ai opté pour une pente de 10 cm qui me convient très bien. Pour l’heure, je constate un meilleur endormissement, une décontraction réelle des jambes, les quelques crampes nocturnes ont disparu.
Sans faire un prosélytisme outrancier, je me permets de faire parvenir le sommaire de vos numéros, dès leurs parutions, dans les réseaux associatifs tels que le Comité Écologique du Comtat Ventoux, mouvement des AMAP. Et félicitations pour l’excellente nouvelle maquette.
Bien cordialement.
Michel Gonçalves
Réponse de NEXUS
Cher Michel,
Vous êtes plusieurs lecteurs et lectrices, à avoir ressenti le besoin de ne pas trop incliner votre lit… l’essentiel étant d’y trouver un mieux-être.
Pour le reste, que vous répondre… Nous en savourons, ô combien, la teneur !
Merci !
David Dennery, pour la rédaction – Magazine NEXUS
Le lit incliné : une merveille !
Mille mercis d’être ce magazine génial, qui nous donne tant d’informations importantes, occultées ailleurs. Merci à toute votre équipe.
Grâce à vous j’ai découvert récemment le lit incliné de Fletcher. Je suis émerveillée, après deux mois de pratique, de constater les bienfaits de cette position nouvelle. Je suis une dame de 90 ans bientôt, et constate sur mes jambes la disparition de mes veines gonflées. Ma peau est lisse, et mes varices ont disparu. Quelle merveille ! J’ai fait lire l’article, tout autour de moi, enfants et petits-enfants, tous adeptes maintenant. Je continue de vous faire connaître, pour plein d’autres raisons… Merci, merci et surtout continuez à être au-dessus de la mêlée. Pour moi, vous êtes indispensables à notre planète.
Avec toute mon admiration.
Henriette Petitot
Réponse de NEXUS
J’ai moi-même testé le lit incliné, et d’autres tests sont en cours pour lesquels nous attendons les retours. Pour ma part, j’ai noté une nette amélioration de mon asthme. Au début, j’ai pensé que ce n’était qu’un effet mécanique (la position horizontale rend plus difficile la respiration), mais à présent, mon sentiment est que le lit incliné favorise l’élimination de toxines.
Cela dit, une nuit (5e semaine de lit incliné) et alors que j’ai un sommeil léger, je me suis retrouvée, sans que je sache comment, la tête à la place des pieds et les pieds à la place de la tête ! J’ai pensé que mon corps réclamait cette inversion. Est-ce que la thérapie du lit incliné doit être faite sous forme de cure, de quatre semaines par exemple ? Toujours est-il que j’ai remis mon lit à plat, mais il est de nouveau en ce moment incliné, parce que mon asthme s’est remanifesté la nuit au bout de 15 jours.
Je suis également insomniaque, le lit incliné a aidé des gens autour de moi pour ce problème, mais pour moi, rien. Je suis alors passée de 15 à 19,5 cm de surélévation, mais c’était trop inconfortable, sans résoudre mon problème d’insomnie. Donc, je suis repassée à 15 cm.
J’ai une amie qui souffre de psoriasis et qui compte tester le lit incliné. J’attends ce qu’elle en dit. À suivre…
Kim-Anh Lim
Nous avons testé le lit surélevé
Suite à l’article très intéressant sur le lit incliné, j’ai convaincu ma femme de l’essayer.
J’ai donc bricolé le lit commun(1,40 m/1,80 m) avec des pieds de 15 cm à la tête du lit. Malheur, après deux nuits, des douleurs importantes sont apparues dans le dos des deux dormeurs. Impossible de continuer comme cela. Donc j’ai remis à plat le sommier, et j’ai décidé de monter petit à petit (l’oiseau fait son nid), il est évident que dormir pendant 60 ans à plat et passer d’un coup au plan incliné est sans doute trop pour nos corps et leurs habitudes.
J’ai continuer tout seul (sur un sommier de 0,90 m/1,80 m) à 12,5 cm d’inclinaison, c’est la hauteur qui me paraissait la mieux me convenir. Et effectivement, le seul fait de ne me lever qu’une fois chaque nuit au lieu de 3 à 5 m’a encouragé à continuer. Je n’est pu expérimenter que 1 mois. Car de retour de longues vacances, nous revoilà sur un même sommier de 1,40 m/1,80 m avec mon épouse… laquelle veut bien réessayer si on démarre de 2 cm et monter petit à petit.
Après divers séjours qui ne nous ont pas permis d’être dans notre lit surélevé, nous en sommes maintenant à 8 cm. Je pense être entre 12,5 cm et 15 cm fin décembre.
Quand à la connaissance du procédé, la question posée sur le net ne m’a proposé qu’un site en français, le forum de l’herbe folle, pas de retour d’expériences à part la mienne.
Je n’encombrerai pas votre boîte mail avec mes avancées en la matière, mais si vous avez connaissance d’un site en FR qui en cause, je suis preneur.
Merci.
Et que vive NEXUS et ses dossiers si passionnants.
Philippe BOYER
Réponse de NEXUS
Eh oui, il semble bien que l’adoption du lit incliné se fasse plus ou moins facilement selon chacun. Pour ma part, il y a des hauts et des bas !
Sinon, à ma connaissance, il n’y a toujours pas de site francophone dédié à cette thérapie. Cependant, en haut à gauche du site d’Andrew Fletcher, on peut sélectionner la langue. Tout n’est pas traduit et ce qui l’est laisse à désirer, mais c’est peut-être mieux que rien.
Bien à vous.
Kim-Anh Lim
Décembre 2016
Prudence, y aller progressivement !
Bonjour à toute l’équipe de Nexus,
Je me permets de réagir à l’article concernant la thérapie du lit incliné. J’ai tout de suite été convaincu par cette thérapie et l’ai aussitôt mise en pratique. Quoi de plus évident finalement que la vie, m’étant développé en présence d’une gravité constante, j’ai utilisé cette dernière comme moteur primaire plutôt que comme obstacle à surmonter.
À partir de ce constat, la présence d’un haut et d’un bas dans chaque organisme vivant devient une nécessité et son sens de fonctionnement optimal aussi (si on ne marche pas sur la tête !).
La thérapie du lit incliné me semblait alors parfaitement cohérente afin de permettre au corps de relâcher parfaitement son tonus postural tout en bénéficiant de la gravité comme énergie primaire et de réaliser ainsi des réparations plus efficaces de tous les petits traumatismes subits pendant la journée (je note par ailleurs que le générateur de Rosch Innovations utilise ce principe gravitationnel).
Est-ce parce que j’ai été convaincu que cette thérapie a fonctionné sur moi, je l’ignore, mais en tout cas les douleurs lombaires qui ne me quittaient plus depuis plus de dix ans suite à une hernie discale, ont disparu en moins de 15 jours !
Aussi ai-je été très surpris de constater que ce n’était pas le cas pour la majorité des gens à qui j’en avais parlé ! La plupart n’arrivaient plus à dormir, glissaient au fond de leur lit avec à peine une surélévation de 8 cm, et même pouvaient ressentir des malaises pour un ou deux !
Je pense donc important d’inviter les gens à la prudence s’ils veulent essayer cette technique thérapeutique que je crois au demeurant très efficace. On ne change pas des décennies de mauvaises habitudes en quelques jours, sinon on risque d’être déçu au mieux par l’inconfort que cela engendrera et au pire par des problèmes de santé plus graves que cela pourrait provoquer (en tout cas au début).
Je pense notamment aux personnes souffrant de problèmes vasculaires : artériopathie, phlébite etc. Imaginez qu’un caillot se détache subitement sous la pression causée par une circulation sanguine plus rapide dans une période ou le tonus postural est presque complètement relâché !… C’EST TRÈS RISQUÉ !!!
Aussi je suggère, si on veux essayer, de n’y aller que très progressivement : commencer tout doucement avec une surélévation initiale de 2 ou 3 cm maximum, puis poursuivre la surélévation par pallier de 1 à 2 cm en respectant une période d’intégration de 1 mois entre chaque pallier. Arrêtez la surélévation dès que votre corps – ou celui de votre conjoint(e) – commence à glisser. C’est selon moi un signe que le corps a besoin de plus de temps pour intégrer l’inclinaison.
Si vous êtes habitué à dormir avec les pieds surélevés pour traitement de problème de retour veineux, ne changez rien à cela car vous y êtes habitué. Mais cela n’empêche pas pour autant de débuter l’inclinaison à condition toujours de ne le faire que très progressivement !
Si, malgré ces précautions, votre corps n’apprécie pas, que vous ne le sentez pas, alors écoutez-vous et laissez tomber.
C’est l’objet principal de mon courrier car je n’ai pas remarqué ce genre d’alerte dans les courriers précédents et je pense que c’est important.
Et pour cette raison c’est sans doute une bénédiction qu’ils n’aient pas voulu tester cette thérapie dans les hôpitaux en Grande-Bretagne !
Cordialement.
N. Parmentier
Vos messages sur facebook
« Au début j’ai ressenti que j’étais plus alerte, plus dynamique… à suivre… ! »
Tam Tam Bien-être
« Cela fait 2 mois que je teste… Et je dors très bien… Avec moins de douleurs articulaires au lever… »
Camille Paquin
« Plein d’améliorations : sommeil plus court et plus réparateur, légèreté, vigueur, souplesse, bonne humeur, teint amélioré, cellulite qui s’amenuise, minceur, miction nocturne disparue dès le 1er jour, transit intestinal facilité, dos très amélioré… Nous sommes conquis et diffusons le “truc” au maximum. »
Laurence Gréaux-Bellenfant