Mercure et aluminium : des poisons acceptables ?
Les métaux toxiques présents dans les vaccins sont-ils aussi inoffensifs qu’on nous le dit ? Certaines études prouvent le contraire.
Par Françoise Joët.
Tous les jours, nous respirons un air rempli de microparticules qui sont, pour la plupart, toxiques. L’avancée des techniques et de l’industrialisation a considérablement vicié notre atmosphère. Mais la pollution a inhalée est une chose, la pollution du sang par injection en est une autre.
La voie de pénétration est, en effet, un facteur essentiel en ce qui concerne les pathologies susceptibles de se développer après contamination. Dans les vaccins, de nombreuses substances “ajoutées” à l’antigène, que celui-ci soit constitué de bactéries, de virus, ou de toxines, viennent alourdir la toxicité du produit injecté.
C’est le cas des adjuvants de l’immunité (sels d’aluminium) et des conservateurs à base de mercure. On sait depuis longtemps que ces métaux sont éminemment neurologiques. Ils sont désormais montrés du doigt dans tous les produits à usage domestique, mais curieusement des doses non négligeables de mercure et d’aluminium sont tolérées dans les vaccins (…).
Article paru dans le numéro 72 de Nexus (janvier – février 2011).